Brest, la ville d’Obion, qu’il adore dessiner. Son bitume mouillé, son béton, sa rouille, sa mélancolie. Ses vieux gouailleurs, sa force, son histoire, ses losers magnifiques qui titubent sur un air de Christophe Miossec. Et ces empreintes laissées par Pierre Mac Orlan ou Pierre Péron…